Le sifflement métallique du réfrigérateur.
La ventilation de mon ordinateur.
Les pas pressés de mon voisins dans le couloir.
La rumeur des véhicules dans la rue.
Le tic tic de l'horloge dans ma salle d'eau.
Le glouglou de la tuyauterie.
Le frottement du tissu lorsque je croise les jambes...
Un soupir.
Deux soupirs.
Trois soupirs.
Nous soupirons.
Vous soupirez.
Ils soupirent.
Photo: Sousentendu.
Chépatro, comme dirait l'autre.
Quoi qu'il en soit, recevoir des commentaires comme les tiens c'est... pfiou. Ouais, parce que je trouve pas vraiment d'autre mot pour dire cette chose bizarre dans mon ventre. Parce qu'en même temps tu me fais des compliments beaucoup trop gentils pour que je les accepte (mais merci quand même), et puis aussi parce ça me donne l'impression que j'ai fait du bien à quelqu'un, rien qu'avec des mots, à travers un écran numérique, et même si c'est qu'un peu, même si ce n'est pas tout à fait vrai, putain qu'est ce que ça me fait du bien aussi. Merci encore une fois, donc.
Il y a aussi le fait que des commentaires si bien écrits, je n'en reçoit pas tous les jours. Pas une seule faute, des phrases très belles, des jeux avec les mots délicieux.
Je sais pas trop quoi te dire. J'ai juste envie de te dire merci à mon tour parce que voilà, mais c'est un peu ridicule.
Mais t'as vraiment tout lu ? (Parce que 76 pages quand même, ouaou.)
Enfin bref. Bonne chance pour la suite. Bonne chance à toi dont je ne connais rien, mais qui semble triste sans être résigné.
By.