Je me souviens, lorsque j'avais entre 12 et 15 ans, quand je lavais mon visage tous les jours avec un coton d'alcool à 90° pour le faire fondre. C'était le bon temps.
L'homme qui rit. Ce film...
sousentendu
Si j'ai toujours raison tu sais, j'ai pas toute ma raison.
sousentendu
Si j'ai toujours raison tu sais, j'ai pas toute ma raison.
Mardi 9 novembre 2010 à 17:45
Cet après-midi, c'était l'histoire d'une nourrice Tchèque pleine de testostérone qui s'appelle Svetlana née de l'union de son père et sa propre soeur, illettrée et avec des tresses. Elle s'occupait d'un enfant et lui donnait un coup sur la tête à chaque fois qu'il enfraignait les règles. Aujourd'hui Pi. a été kidnappé par cet enfant devenu grand et accessoirement psychotique qui a tenté de le séquestrer dans sa fonderie et lui a plongé le bras dans une cuve... ce qui a donné une cicatrice en forme de gant de toilette. Cherchez l'erreur, il n'y en a pas. Pi. a donné un coup sur la tête du vieil enfant qui s'est mis à pleurer à genoux, les poings enfoncés dans ses yeux pour les en empêcher.
La vraie histoire, c'est celle d'un Corse avec un trou dans le torse, et une moto dans la tête.
PS: Je quitte pour un temps le Porto pour la Smirnoff.
PS: Je quitte pour un temps le Porto pour la Smirnoff.
Mardi 9 novembre 2010 à 0:11
Vivre nu.
Boire.
Errer.
Ecraser le sol entre mon lit et l'école.
Boire.
Chanter.
Tomber.
Ecrire des trucs que personne ne lira jamais.
Tomber.
Boire.
Proposer des soirées fictives à des gens qui n'existent pas.
Danser.
Boire.
Errer.
Dormir nu.
Penser à une soirée dont il me manque deux souvenirs.
Boire.
Ecraser le sol entre mon lit et l'école.
Vivre nu.
Prendre ma douche dans le noir.
Boire.
Penser à des soirées géniales qui n'existent pas.
Errer.
Me dessiner une moustache.
Chanter encore.
Ecraser le bitume sans trop réfléchir.
Faire semblant de travailler.
Boire.
Rire. Surtout.
La gigantesque différence entre toi et moi, c'est que j'ai trouvé un rythme, moi.
Boire.
Errer.
Ecraser le sol entre mon lit et l'école.
Boire.
Chanter.
Tomber.
Ecrire des trucs que personne ne lira jamais.
Tomber.
Boire.
Proposer des soirées fictives à des gens qui n'existent pas.
Danser.
Boire.
Errer.
Dormir nu.
Penser à une soirée dont il me manque deux souvenirs.
Boire.
Ecraser le sol entre mon lit et l'école.
Vivre nu.
Prendre ma douche dans le noir.
Boire.
Penser à des soirées géniales qui n'existent pas.
Errer.
Me dessiner une moustache.
Chanter encore.
Ecraser le bitume sans trop réfléchir.
Faire semblant de travailler.
Boire.
Rire. Surtout.
La gigantesque différence entre toi et moi, c'est que j'ai trouvé un rythme, moi.
PS: J'ai retrouvé mes lunettes, hallelujah
Photo: Pa.
.Dimanche 7 novembre 2010 à 14:48
Dans cette école, les assassins sont envoyés au coin sans autre forme de procès.
Photo: Sousentendu.
Samedi 6 novembre 2010 à 18:33
C'est le ronronnement du frigo et le tic tac de la pendule au pied de la cuvette.
C'est encore le week-end, comme à la fin de chaque semaine.
Photo: Sousentendu.
